La FOX balance sa grosse cartouche pour l’automne 2014 avec la série « Gotham ».
Comme vous l’aurez compris, la série racontera les origines de Batman vue par James Gordon.
On y retrouvera de nombreux protagonistes emblématiques de la série pour le plus grand plaisir des fans.
Vu la bande-annonce, le fruit semble déjà bien appétissant, reste à espérer qu’il sera aussi bon qu’il en a l’air.
En exclusivité, nous aurons comme invité exceptionnel « Franck Sauer » qui viendra nous parler de Outcast HD tout fraîchement démarré en Kickstarter, mais aussi de nombreuses autres surprises.
Lors du podcast de fin d’année 2013, on avait demandé à chacun le jeu que nous attendions pour 2014. Pour ma part, il n’y a à pas qu’un, mais je dois dire que « Black Desert Online » est toujours en bonne place.
Je vous laisse avec la vidéo de customisation des personnages tout bonnement exceptionnelle et je vous donne rendez-vous pour plus d’info dans notre prochain Podcast le 15 avril 2014.
Crée en 1997 par le magazine « Digital Production », les prix Animago sont considérés en Allemagne comme les oscars de la création numérique . Voici donc le palmarès des prix décernés ce 25 Octobre 2013 au Film Park de Potsdam-Babelsberg.
C’est un total de 1.043 projets de 66 pays différents qui ont été soumis cette année aux Animago Award’s. Les candidats et les finalistes ont été choisis par un jury indépendant composé de professionnels du développement et de la post-production cinématographique mondiale. la cérémonie de remise animago est le point culminant de deux jours de conférences suivi par plus de 1000 experts internationaux.
Meilleur post-production: « The Crew » par Unité image (France)
Ce prix récompense le travail de post-production numérique pour le cinéma et la télévision. Les principaux critères sont l’animation 3D, le compositing et les effets visuels et non-visuels. Les films et les production 100% virtuelles sont autorisés.
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Meilleur film d’animation de personnage: « à la française » par Morrigane Boyer, Julien Hazebroucq, Ren Hsien Hsu, Emmanuelle Leleu, William Lorton, Supinfocom Arles (France)
Critères d’évaluation: modélisation, mouvement, animation faciale, la texturation et l’authenticité.
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Meilleur Game Design: « The Last of Us » par Naughty Dogs (Etats-unis)
Critères d’évaluation: réalisation technique, le caractère, idée, audio, SFX.
Meilleur production publicitaire : » Swatch – Mad About The Sea « par Celluloid VFX (Allemagne)
Critères d’évaluation: idée, son caractère, SFX, réalisation technique
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Meilleure production interactive: « WürfelWald » de Raphaël Polte, Marvin Podsendek, Burg Giebichenstein Kunsthochschule Halle (Allemagne)
Critères d’évaluation: la convivialité, idée, conception, innovation…
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Le meilleur Trailer: « Watch Dogs » par Digic Pictures (Hongrie)
Cette catégorie comprend les bande-annonces de films, les trailers et les introduction cinématographique de jeux-vidéo. Les critères sont l’originalité, la conception et la réalisation technique de l’ensemble de la post-production, mais aussi les qualités dramaturgique de l’oeuvre.
Meilleur Jeune production : « Rob ‘n’ Ron » de Magnus Igland Møller et Mads Juul (Danemark)
A ce prix parrainé par la production numérique, s’ajoute la somme de 3.000 €. les critères d’évaluation sont l’idée, le caractère et la réalisation technique.
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Prix DIGITAL PRODUCTION lecteur: « Sensation Twisted »par Yasin Hasanian (Iran)
Le gagnant dans cette catégorie ont été choisi par les votes du public sur la page Facebook et par les lecteurs du magazine « Digital Production ».
Prix du jury: « Me tube : August sings Carmen Habanera » par Moshel Film et August Schram (Autriche)
Ce prix est basé sur les critères de conception, l’esthétique et l’utilisation efficace des outils et des logiciels numériques. Les facteurs décisifs dans le choix du lauréat sont le photo-réalisme, l’exécution technique, la conception des personnages et les qualités artistiques de l’œuvre. Le vainqueur de cette catégorie est définis par le vote du public envers une proposition de 10 oeuvres choisie par le jury.
Le studio Alientrap, déjà connu pour le très sympathique « Capsized », vous invite à découvrir pour ce début 2014 Apotheon. Apotheon est un jeu de plateforme-exploration se déroulant dans un musée d’amphores grecques de quoi donné des cauchemars à tous les collectionneurs. A l’approche de sa sortie imminente, le studio vous offre une promotion -33% sur la précommande du titre. Que vous manquiez ou non cette occasion, rendez-vous pour le début d’année 2014 sur PC et un peu plus tard sur Mac et Linux.
Après une décennie d’absence, la célèbre souris revient dans une mini-série rétro de 19 épisodes. Sortie ponctuellement depuis le 28 juin sur Disney Channel et Disney.com, cette mini-série est une véritable surprise. Je vous invite à découvrir quelques épisodes ci-dessous.
C’est à l’occasion des 75 ans de Superman que Zack Snyder (Man of Steel, 300, Watchmen…) et Bruce Timm (Batman: la Série Animée et Supeman l’ange de Métropolis…) en collaboration avec les studios Warner ont réalisé ce superbe court-métrage d’animation. Durant 2 minutes, on suivra l’évolution de l’homme d’acier de sa première apparition sur la couverture d’ « Action Comics #1 » en 1938, jusqu’au film Man of Steel sorti cet été. Du pur bonheur de FAN service a dégusté sans modération.
Pour la petite info, Superman fut créé en 1932 par l’écrivain américain Jerry Siegel et l’artiste canadien Joe Shuster, le personnage fut vendu à Detective Comics et comme dit plus haut apparu en couverture d’Action Comics #1 en 1938.
Ce samedi, aux environs de Central Park, se dressait un petit stand de Street Art. Assis sur une chaise pliante à proximité, un vieux monsieur y vendait pour une soixantaine de dollars des toiles réalisées au pochoir et à la bombe.
Les heures passent, les badauds déambulent. De temps en temps, une personne s’intéresse aux œuvres exposées. En début d’après-midi, après avoir un peu marchandé, une femme achète deux toiles pour ses enfants. Une heure plus tard, une jeune Néo-Zélandaise en acquiert deux autres. Le vieil homme, très content, l’embrasse. À 17:30, un jeune black de Brooklyn en achète quatre autres pour décorer sa maison. À 18h, le vieux monsieur remballe, l’air satisfait. C’était une bonne journée, Il a gagné 420 dollars.
C’est une scène habituelle aux alentours de Central Park où fleurissent de nombreuses boutiques improvisées de ce type. Pourtant, à y regarder de plus près, ce stand fait partie du projet appelé « Better out than In» de l’artiste britannique Banksy. Les impressions pochoirs qui y étaient vendues sont toutes des originaux signés de sa main. Selon l’avis de certains spécialistes, ces œuvres vendues quelques dizaines de dollars valent 1000 fois plus sur le marché de l’art.
La raison de cette démarche est une forme de révolte contre le merchandising du Street Art et ce qui en dénote. Comme l’explique ses propos recueillis par le journal New York village Voice.
Après les incidents de Tottenham et de Brooklyn où des collectionneurs frénétiques ont été jusqu’à faire arracher illégalement des pans de murs pour récupérer ses fresques, on comprend cette prise de position.
Chaque jour jusqu’à la fin du mois, l’artiste révélera une œuvre ou une initiative perpétuée dans les rues de New York. Découvrez-les sur la page Web ci-joint.
VOX est un ouvrage d’illustration créée par Matteo de Longis dans la collection Venusdea édité chez Soleil.
Ce jeune artiste d’origine italienne a déjà fait parler de lui en créant les Artoyz « Mekaneko » des sortes de petits êtres à tête de chat que vous pouvez voir ci-contre. Avant d’être créateur d’Artoyz, Matteo est un illustrateur de talent. Je vous invite à découvrir son travail sur déviant Art et sur son site Web. Ses œuvres ont été diffusées dans de nombreux magazines et notamment dans la version décade de Skydoll.
Très pop dans son approche des couleurs, à la limite du manga dans son traitement et souvent graphique et épurée dans ses mises en page, VOX est un véritable recueil de maîtrise plastique. Présenté au format des pochettes de vinyle 45-tours, le livre dévoilera durant sa centaine de pages des illustrations de femmes sensuelle fusionnant avec de la musique, des instruments et parfois même des véhicules. Véritable voyage initiatique dans un monde de couleur et de sons subjectifs, le recueil nous fera passer du concert rock improvisé à l’envahissement urbain de femmes titanesques. Tout en douceur et en subtilité, l’album distille comme dans un rêve une poésie musicale silencieuse.
Le traitement plastique est maîtrisé, que ce soit dans la justesse du trait et de ses variations rythmiques ou dans ses épurations esthétiques. En véritable leçon de dessin, les cadrages osent sans jamais se tromper et les interventions de trames, de couleurs et de motifs sont d’une rare exactitude. Même contemplatifs, les personnages semblent vivants et font corps avec cet univers musical inconcevable. En feuilletant l’œuvre, elle nous rappellera des Art book comme Appelseed ou Evangelion, mais ne s’égara pas en comparaison pour garder sa propre identité.
Certains spectateurs avides de messages resteront peut-être un peu froids face aux légères suggestions émises et regretteront le manque de prise de risque de l’ensemble. Les personnages sont trop souvent contemplatifs comme s’ils n’étaient jamais acteur, mais plutôt les instruments de cet univers. On voudrait tellement qu’ils agissent plus qu’ils ne posent. Qu’ils explosent dans quelque chose de plus pertinent qu’une simple réflexion plastique et esthétique. En soi, que le livre et ses sujets soient plus rock ‘n’ roll.
Bien sûr, il ne faut pas bouder le talent de l’auteur qui démontre ici un potentiel technique exceptionnel. On dira juste que la mise en forme, bien que très séduisante, reste trop sage et que l’on espère voir arriver très bientôt un autre livre ou une bande dessinée du même auteur. Dans tous les cas, pour une trentaine d’euros, il serait dommage de passer à côté de cette petite pépite d’esthétisme.
The garden of Words (Le jardin des mots) c’est le nouveau court-métrage du réalisateur « Makoto Shinkai » a qui l’on doit les magnifiques Voyages vers Agartha et 5 centimètres par seconde. Sorti en mai 2013 au Japon et prévu pour début 2014 en France, ce film de 46 minutes illustre une nouvelle fois le talent du studio « Comix Wave Inc » et de son jeune réalisateur.
Ce film dévoile comme dans un conte, l’histoire de Takao, un apprenti cordonnier passant ses journées à dessiner des chaussures dans un parc. Un jour de pluie, il y rencontre Yukino, une jeune femme un peu plus âgée que lui. Tous les jours de pluie qui suivent, ils se retrouvent dans ce parc et deviennent de plus en plus proches, mais la fin de la saison de pluie arrive…
Comme les précédents oeuvres des studios Comix Wave Inc,The garden of Words bénéficie d’une réalisation exceptionnelle et d’une poésie rare qui le met dors et déjà dans la liste des films d’animation a voir absolument en 2014.
À tous les impatients, le Grand Rex de Paris organise ce vendredi 18 octobre 2013 à 20h une avant-première en compagnie du réalisateur. Une occasion à ne pas rater.